La pleine lune éclaire une jungle tropicale dont le calme apparent masque en réalité une vie nocture agitée. Les cris des singes font écho aux craquement des branches, au froissement de la canopée, et à un grondement sourd qui accompagne des pas feutrés approchant lentement mais surement une grotte où sommeillent de délicieuses proies.

Les sens afutés du loup qu’il incarne préviennent Argos de l’arrivée de la créature, alors qu’une panthère noire comme la nuit émèrge des ombres entourant la grotte où dorme ses trois amis. Bondissant sur ses pattes, il tente de la dissuader de s’approcher, en grondant à dents découvertes, mais il faudrait plus qu’un louveteau pour détourner le félin de la perspective d’un bon repas.

Le bruit permet malgré tout de réveiller les sorciers, et c’est à baguettes tirées qu’ils se précipitent hors de la grotte. L’affrontement éclate alors. Tempête de crocs et de griffe, le loup et la panthère se livrent une bataille acharnée au corp à corp, qui prend fin quand Argos se retrouve jeté au loin comme un vulgaire chiot, presque assomé. Yaël profite de l’occasion pour tenter de paralyser la panthère, mais il manque sa cible et le rayon de son sort ricoche sur une pierre avant de se perdre dans la nuit.

La situation semble critique, quand sans prévenir un jaguar surgit au secours des sorciers, et après une brève échauffourée met la panthère en fuite. Sans un bruit, il se tourne vers les adolescents qu’il dévisage d’un air énigmatique, avant de bondir à son tour et de disparaitre dans la forêt.

Secoués par la bataille, le groupe retourne à l’intérieur de la grotte où, une fois Argos soigné de ses blessures légères, ils parviennent tant bien que mal à retrouver le sommeil.

Au petit matin fourbus mais reposés, les sorciers décident de se diriger vers des ruines appreçues la veille du haut de la montagne. Sur le chemin, ils ont la désagréable impression d’être suivi, et l’éclat d’une fourure tachetée appreçue de ci de là les rassure quelque peu sur la nature de leur mysterieux et poilu garde du corps.
Ayant décidé d’emprunter un chemin longeant une rivière pour atteindre leur destination, le groupe se retrouve toutefois confronté à une falaise abrupte de laquelle ils doivent descendre afin de poursuivre leur périple. “YEEEEET” hurlent-ils, avant de se lancer dans le vide et d’arrêter in extremis leur chute à l’aide de sorts bien placés.

Au détour d’un coude de la rivière, les glyphes sur leurs bras les avertissent de la présence d’un puissant enchantement non loin de là, dans la direction d’une coline pierreuse qu’ils décident d’escalader. Une fois le sommet atteint, une courte marche les ammène à un magnifique lac entouré de ruines anciennes. La source de la magie qu’ils détectent semble provenir du fond de l’eau…

Le départ pour la jungle tropicale s’annonce pour les sorciers. Ils doivent au préalable faire examiner le contenu de leurs sacs aux professeurs, chargés de confisquer tout objet succeptible de dénaturer l’épreuve de survie qui les attend. Si Rose, Keith et Argos s’en tirent privés de leur nourriture, Yaël, suite à un propos déplacé, n’embarque pour seul équipement qu’un sac complètement vide.

Une fois transplanés en plein coeur de la forêt, il ne leur faut pas longtemps pour être complètement recouverts de moustiques. Argos repère une colonie de termites qui, d’après les indications de Yaël, s’avèreront très utiles pour se protéger des piqures une fois écrasés et badigeonnés sur la peau.
Ce problème étant règlé, ils doivent maintenant s’orienter dans cette jungle dense, et Argos, du haut d’un arbre, dresse une rapide cartographie des environs.

Leur cap est fixé sur une montage au sud-ouest, qu’ils devraient atteindre avant la nuit, depuis laquelles les jeunes sorciers espèrent pouvoir repèrer Castellobruxo.

En chemin, la faune hostile de leur environnement s’évertue à les ralentir, et c’est fatigués et tendus qu’ils sortent de leurs rixes contre un fangieux et des singes particulièrement tenaces.
Ces derniers arrêtent toutefois subitement des les suivre passé un certain point. En observant attentivement, les amis peuvent remarquer des marques de griffe sur le tronc des arbres, qui se font plus nombreuses à mesure que la montagne se rapproche.

Une fois arrivé à destination, et la grotte dans laquelle ils espèrent passer la nuit repérée, le groupe se scinde. Yaël part pêcher des truites dans une rivière proche, Keith et Argos ramasser du bois pour entretenir un feu qui brûlera toute la nuit, et Rose s’occupe de préparer la cavité rocheuse pour leur séjour nocturne.

La nuit tombe, et la pleine lune se lève…

Il est l’heure de la retenue avec la professeure de potions pour les quatre sorciers. Ils profitent du trajet jusqu’à la salle de leur supplice pour remettre les choses à plat après leurs altercations précédentes, et c’est l’esprit appaisé qu’ils se présentent auprès de Mme Iracema. Celle-ci leur désigne une pile de chaudrons à l’aspect peu ragoutants, qu’ils devront récurer, sans s’aider de la magie. Rose tente bien de mettre à profit ses talents de métamorphomage, mais il est des situations où 6 bras ne valent pas mieux que deux, et elle finit empêtrée dans ses apendices, collés entre eux par la substance suintant des chaudrons. Fort heureusement, il lui reste sa baguette, qu’elle utilise pour recouvrer le bon nombre de membres, et réparer sa tuniques percée de quatre nouveaux trous.
Après plusieurs heures, les chaudrons et marmites sont propres, et les élèves relachés. Ils filent se mettre au lit, éreintés par les émotions de leur journée.

Dès le lendemain matin, ils doivent toutefois s’accorder sur leur plan d’action pour la démonstration de leur comm’cake prévue auprès d’une salle remplie d’élèves attentifs. Une fois prévenue du risque d’effets secondaires, la professeure refuse que les élèves goutent la préparation, mais ne voit pas d’inconvénient à ce que Yaël en fasse la démonstration en s’aidant de leur sujet d’étude du jour: les mapinguaris, sorte de paresseux géants amateurs de rongeurs et de légumes.

Devant les yeux d’une classe ébahie, Yaël entretient donc une brève conversation avec les géants poilus, faisant fi de son orteille supplémentaire, et leur promet un sceau de carottes en échange de leur coopération. Le spectacle vaut au groupe une ovation générale, et leur professeure se montre intéressée par une nouvelle démonstration, s’ils parviennent à produire une nouvelle fournée conforme à leurs exigences.

Argos se rend par la suite, en trainant des pieds, à sa retenue, pendant qu’un Yaël soucieux d’honorer sa promesse apporte un sceau de dix carottes aux gentils géants.
Le serpentard se retrouve donc au prises avec trois nuisibles ailés défendant leur progéniture, mais ils ne sont pas de taille face au sorcier qui a tôt fait de les écraser (au sens propre) et de bruler leurs oeufs.

Inquièts d’assurer leur survie dans la jungle dans laquelle ils seont emmenés le lendemain, les amis sorciers tâchent d’apprendre à quelle sauce ils vont être mangés auprès d’élèves plus âgés ayant déjà vécu l’épreuve.
Yaël parvient à en apprendre suffisemment pour mieux s’en sortir dans ce terrain hostile.

Afin de mener à bien la préparation de leur comm’cake, et de ne pas en oublier un des composants principaux, les amis sorciers envoient Rose demander la direction des cuisines, où ils espèrent pouvoir se procurer de beaux tabliers blancs, à un élève plus âgé. C’est rapidement chose faite grâce à une cheffe qui leur apporte le nécessaire. Elle les prévient toutefois qu’ils ont intérêt à tout lui ramener intact le plus vite possible une fois qu’ils n’en auront plus besoin. A ces mots, et devant tant de pression, Argos s’effondre en flaque larmoyante sur le sol, et rien de ce que ses amis ne peuvent lui dire ne le sort de sa crise d’hystérie.
Pour référence: https://imgur.com/a/u6P0iZE

Rose et Yaël parviennent après un moment à lui faire suffisemment reprendre ses esprits pour le traîner jusqu’à une salle vide au deuxième étage, suivis de Mme Castillo (grand-mère de service) et de Julia (à qui ils avaient promis une démonstration).
Malheureusement, la situation mentale précaire d’Argos ne lui permet pas d’utiliser à leur plein potentiel ses aptitudes en potions, et un mauvais geste vient compromettre l’intégrité de cette dernière. Yaël est envoyé en catastrophe se procurer une baguette en argent, seul outil à même de réparer les dégats causés. Pour ce faire, il se faufile discrètement dans la salle de potions après en avoir forcé la serrure, ce qui ne manque pas de faire résonner une discrète alarme quelque part dans le château. Conscient que son temps est compté, le Pouffsoufle se saisit de la baguette en argent dépassant du sac de la professeure de potion, et rejoint ses amis.

Cependant, quelques minutes plus tard, Mme Iracema fait irruption dans leur salle, leur demandant s’ils ont vu ou entendu quelque chose de suspect suite à une intrusion dans sa salle, quand elle remarque sa baguette en argent dans les mains d’Argos, qu’elle confronte. A bout de nerfs, se dernier prétend, sans grand succès, s’évanouir, tandis que ses deux compagnons restent muets. Perplexe mais en colère, la professeure de potion récupère son bien, et les informe qu’ils seront tous les quatres en retenue le soir même, avant de quitter la pièce.

Sitôt la porte refermée derrière elle, Argos sort de sa fausse catatonie, et, dégainant sa baguette, pétrifie un pauvre Yaël sans méfiance, avant de le tirer vers le placard le plus proche. Mme Castillo ne l’entend pas de cette oreille, et rien de ce qu’un Argos au bord de l’hystérie ne peut inventer comme mensonge pour justifier son geste ne parvient à la convaincre de son bienfondé. Il se retrouve donc collé le lendemain, et la grand-mère de service, indispendable à la potion, prend à son tour la porte. Argos finit d’enfermer Yaël dans un placard, après l’avoir débarassé de sa baguette, et retourne à la préparation catastrophique des comm’cakes.

Ces derniers terminés, le jeune Serpentard est en mesure d’estimer leur efficacité réduite de trois quart environ, ce qui leur fait disposer de 35 doses d’une efficacité de 3mn, au lieu des 12mn initialement prévues. Un effet secondaire imprévu se glisse également dans l’équation quand rose, qui teste le produit, voit un nouvel orteil lui pousser au pied. Elle se fait donc accompagner par Argos à l’infirmerie, tandis que Keith reste en arrière pour libérer Yaël de sa prison placardesque.
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Julia: “… What the actual fuck just happened?”

Après le petit déjeuner, les sorciers sont prévenus par leur professeure de Soin aux Créatures Magiques, Mme Kiki Castillo, qu’ils devront demain lors de son cours sur les Mapinguaris faire une présentation de leur com’cake. Soucieux de ne pas la décevoir, ils profitent d’un cours de potion pour demander à Mme Iracema si elle peut leur fournir les ingrédients nécessaires à leur recette, ce qu’elle accepte sans soucis. Vient toutefois se poser la question épineuse de la présence d’une grand-mère lors de la préparation, qu’une réponse sèche de l’enseignante de potion apprend aux jeunes sorciers qu’il vaudrait mieux éviter d’aborder le sujet avec elle.

Contraints de devoir trouver une autre personne pour remplir ce rôle, Argos, Rose et Yaël laissent Keith à la merci de l’école et se dirigent vers le sommet de la pyramide, où se situe le bureau de la directrice, candidate potentielle au poste de grand-mère attitrée.

Toutefois, arrivés au 3ème étage, ils peuvent entendre des bruits de nombreux sabots se rapprochant à grande vitesse. N’écoutant que leur courage, Argos et Rose se dissimulent du mieux qu’ils le peuvent, tandis que Yaël reste immobile en plein milieu du couloir. Il est donc le premier à voir débarquer à toute vitesse un troupeau de sangliers que chevauchent des Caiporas. Le pouffsoufle tente tant bien que mal de les repousser, mais fini à l’issue de la bataille par se faire abducter tandis que ses amis, impuissants, assistent à sa disparition à l’angle d’un couloir, aux mains des créatures magiques. Après une brève délibération, Argos et Rose se lancent à sa poursuite. Il ne leur faut que quelques minutes pour arriver essouflés au premier étage, où ils retrouvent, surpris, un Yaël tout à fait libre, qui refuse de leur dire ce qu’il est advenu des Caiporas. Soit.
Reprenant leur route vers le bureau de la directrice, ils le trouvent, à leur grand désapointement, vide. Les sorciers décident de se rabattre sur la salle du banquet, où ils auront peut-être plus de chance de la croiser.

Mais dans la grande salle, de directrice nulle trace. Julia est en revanche affairée à terminer un devoir de Soin aux Créature Magiques. Un coup de main de Rose et Yaël lui permet de le finir à temps, et le groupe en profite pour lui demander si une ou plusieurs grand-mères se trouveraient dans l’équipe pédagogique de l’école. Méfiante quant à la raison d’une telle demande, il faudra que le groupe lui offre d’assister à la préparation de leur com’cake pour que Julia accepte de leur apprendre que la professeur de soin en créatures magiques est une mamie.
Une négociation habile de Rose assure au groupe la présence de l’enseignante lors de leur préparation à la fin de la journée.

Marissa prévoit également d’occuper leur temps libre, en leur faisant découvrir par la suite les passages secrets de l’école, ainsi qu’un “petit truc qu’elle a découvert récemment”…

Mais les sorciers ont bien l’intention de prévoir à long terme lors de la préparation de leur potion, et essaieront de faire plus de doses de leur com’cake que nécessaire, ce qui leur permettra de communiquer avec les différentes créatures de la jungle où ils devront se repérer, selon les rumeurs, le surlendemain lors du cours de botanique…

Pour se remettre de leur voyage, Argos, Keith, Rose et Yaël profitent de leur premier repas à Castelobruxo. Quelle n’est toutefois pas leur surprise quand ils se rendent compte qu’ils ont été victimes d’une farce, quand leurs couverts s’avèrent être enchantés et ne pas renvoyer l’image de ce qu’ils sont réellement (un couteau devenant une fourchette, et vice-versa). Peu à même de se laisser malmener ainsi, Rose fait fi des conventions, et sous les regards mi-dégoutés, mi-amusés, et re mi-dégoutés derrière, elle prend l’apparence d’une mante religieuse, utilisant ses apendices en guise de couverts.
Tentant tant bien que mal d’ignorer les bruits répugniants de mastication, Argos et Yaël interrogent Julia, leur guide, pour essayer d’en apprendre un peu plus sur le lieu dans lequel ils vont passer les trois prochains mois. Cette dernière se méfie quant ils essaient de se renseigner sur d’éventuels passages secrets, et leur désigne d’un air dédaigneux une élève “peu recommandable” qui serait plus à même de connaître ce genre de sujet. Julia leur apprend malgré tout que quelque part dans la pyramide se trouve une piscine secrète, dont l’accès change tous les jours. Beaucoup moins attrayant, quelque part, un lac rempli de piranhas mutants magiques leur donne des sueurs froides.

Une fois leur repas englouti, c’est rassasiés que les quatre compères se dirigent vers leurs dortoirs respectifs. Rose et Keith s’arrêtent au niveau de la mangrove, quand Argos et Yaël poursuivent jusqu’aux branches.
Dans la salle des Ariranha, Rose fait la connaissance d’Illapa, une condisciple franche du collier, et fan du numéro de transformation de la métamorphomage.
Yaël et Argos, dans la chambre qu’ils partagent avec deux lits pour l’instant vides, ressassent le sale tour dont ils ont été les victimes quand débarque un de leur collocataires, la tête plongée si profondément dans un livre qu’il ne semble même pas se rendre compte de leur présence. Après un moment de gène à ne pas savoir s’ils devaient l’interrompre, Yaël se fend d’un timide: “salut” qui a pour effet de faire bondir le nouveau venu. Après s’être confondu en excuse pour ne pas les avoir remarqué, il se présente comme Ucolti, frère jumeau d’Iscali, fana d’inventions. A ce sujet, il ne se fait pas prier pour présenter aux deux amis sa dernière en date: une sorte de petit tremplin, qui produit des effets dévastateurs sur tout ce qui a le malheur d’entrer en contact avec lui.
Sentant le sommeil les cueillir, les jeunes gens se couchent, prêts à affronter les épreuves du lendemain.

Et ils n’ont pas à attendre longtemps pour cela. En se préparant à quitter leur chambre, Argos et Yaël découvrent que leurs chaussures ont été ensorcelées, les rendant très impratiques à porter. Rose de son côté, découvre à ses dépends que la gravité de la cuvette des toilettes a été inversée. En se rendant vers la grande salle pour le petit déjeuner, Yaël a l’impression d’être suivi. Il lui faudra à lui ainsi qu’à Argos plusieurs minutes et sortilèges de détection pour comprendre que les chaussures du pouffsoufle produisent un son de marche en décalé, sortilège à ajouter à la longue liste de ceux dont ils sont victimes depuis leur arrivé.
Bien décidés à prendre les choses en mains, c’est méfiants que les jeunes sorciers se dirigent vers la grande salle, où il se séparent pour couvrir plus de terrain interroger plus de personnes.
Du côté des Botos, Yaël s’intéresse de très près à l’activité d’un mystérieux sorcier au charme envouteur, couronné d’un étrange chapeau blanc. Pendant ce temps, Argos sympathise avec l’élève que Julia lui avait désigné comme la plus à même de connaître les passages secrets de l’école: Marissa. Sa Salamandre péruvienne sur l’épaule, cette dernière semble ravie de faire la connaissances des nouveaux élèves. En plein milieu de la conversation, ils sont toutefois interrompus par l’arrivée du courrier, et quelle n’est pas la surprise des transfuges de Poudlard quand viennent se poser devant eux quatre magnifiques beuglantes d’un rouge écarlate.
Rien à faire pour s’en débarasser, et s’est se préparant au pire que les sorciers les voient s’ouvrir, pour remplir la salle de cris tels que “tu as de jolies fesses”, “j’aimerais être ton ami!” et autres messages positifs.

N’y tenant plus, Marissa explose de rire, et leur révèle enfin être à l’origine de tous les tours dont ils sont victimes depuis leur arrivée. Revancharde, Rose l’asperge d’eau, ce que Marissa accepte avec fair-play.
Rassurés de savoir qu’ils n’auront plus à se méfier des toilettes, les sorciers, accompagnés de leurs nouveaux amis, se préparent à suivre leur premier cours à Castelobruxo.

Quelques matchs de Quidditch interminables plus tard, les quatres trois sorciers s’atellent à leurs révisions en préparation des examens de fin d’années, qu’ils appréhendent avec plus ou moins d’anxieté. Malgré tout, c’est leur deuxième année validée que les adolescents prennent place à leurs tables respectives pour le dernier repas de l’année, où la Grande Salle se parera des couleurs de la maison ayant remporté la coupe.

Les Gryffondor, s’étant trop reposés sur leurs lauriers, se voient finir bon dernier, malgré leur première place de l’an passé. Les Serdaigles, troisièmes, se consollent devant leur écrasante domination de la saison de Quidditch. Malgré une course très serrée pour la première place, Serpentard l’emporte, laissant les Pouffsoufle dans leur sillage.

Devant les deux mois dont ils disposeront pour leurs vacances, et ne souhaitant visiblement pas les passer ensemble, les """amis""" planifient chacun de leur côté leur emploi du temps. Pour Argos, cours de Quidditch donnés à des élèves fortunés, prétexte pour joindre l’utile à l’utile en préparant son retour en force dans l’équipe de Quidditch dont il a été exclu pour une miséreuse histoire de planing. Yaël joue les fugueurs et brave les Aurors de [insérer un nom de pays du nord] en faisant usage de la magie pour se procurer un ingrédient nécessaire à sa transformation en animagus.
Mystérieuse, Rose se livre quant à elle à de secrets préparatifs dont les deux jeunes hommes ne connaissent ni les tenants ni les aboutissants.

Les vacances ayant filé à toute vitesse, voici déjà le moment de la rentrée et des retrouvailles entousiastes des amis qui ne se sont pas vus depuis deux mois et de Keith et de l’excursion en Amérique du sud. Pour ce faire, les sorciers se rendent au ministère, où une employée très occupée leur indique la cheminée par laquelle il devront voyager, dans huit minutes, ni plus, ni moins, sous peine de rester coincer à Londres.

Tout semble se dérouler comme prévu QUAND TOUT A COUP une petite fille vient percuter les jambes d’Argos, manquant de le renverser. En pleurs, elle refuse de le lâcher, et ne se calme qu’une fois Yaël muselé et Rose transformée en canard pour son amusement. Elle leur apprend alors s’appeler Émilie, avoir perdu sa mère sur le chemin de traverse en suivant un chat errant, et n’avoir aucune idée de la façon dont elle s’est retrouvée au ministère. Donnant de la voix, Rose appelle tant bien que mal sa mère, répondant au nom de Sophie. Réalisant que malgré leurs vociférations, la mère de la petite ne pourra sans doute pas les entendre à plusieurs kilomètres de distance, Argos voyant le temps filer entre leurs doigts prend l’initiative et la petite sur le dos, et cours jusqu’aux cheminées. Arrivé au chemin de traverse, il ne lui faut qu’un instant pour rassembler la mère et sa petite, avant d’effectuer le chemin en sens inverse, et d’arriver juste à temps pour attraper la cheminée de 11h02 en direction de l’Amérique du Sud

Sur place, nulle trace de la professeure sensée les accueillir, mais une foule compacte entourant la célèbre joueuse de Quidditch, Ozomacoatl.
Une dizaine de minutes plus tard, les quatres sorciers voient apparaitre une femme criant à tue-tête “Poudlard! Par ici Poudlard!”. Faisant preuve d’un sens de la déduction à toute épreuve, ils en concluent qu’il s’agit de leur accompagnatrice, qu’ils s’empressent de rejoindre. Elle se présente en tant que Professeure Iracema, enseignant les potions, et les conduit le long d’un chemin bucolique à une gigantesque pyramide dorée entourée de cascades, jardins et ponts suspendus: Castelobruxo.

En entrant dans l’imposant édifice, ils sont introduits à une élève de leur âge, Julia Olivera, qui jouera le rôle de guide lors de leur séjour. Elle leur présente le système de maison propre à son école, et après une cérémonie leur rappelant celle de Poudlard; Yaël et Argos sont envoyés chez les Macaco-Prego, tandis que Rose et Keith se retrouvent affectés aux Ariranha. C’est ereintés par cette journée que les jeunes sorciers se dirigent vers une nuit de sommeil bien méritée, se demandant quelle surprises les attendront au réveil.

additions de la MJ en italique

Fraichement sortis du tableau magique, les sorciers prennent connaissance de l’endroit où ils ont atterri. De lourdes et riches tentures décorent les murs de la pièce, où s’ammoncellent tout un tas d’objets, du plus simple au plus élaboré, dont l’utilité leur échappe pour la plupart.
Des lettres magiques (encore) forment les mots “Pour prendre un objet, il faut laisser quelque chose de valeur équivalente”.
Enola découvre une des bagues d’Yggdrasil, contre laquelle elle décide de laisser une baguette dérobée précédement. Argos, en échange de deux autres baguettes et deux potions, s’empare d’une boîte scellée du sceau de Merlin, qui, une fois ouverte, révèle l’inscription suivante: “J’isole de ma magie le monde extérieur”. Contre la chaussure gauche de Yaël, il décide de la remplir d’une portion du feu magique brûlant au centre de la pièce, qui sans pouvoir les blesser s’ils y mettent la main, leur réchauffe aussi bien le corps que le coeur. Les apprentis magiciens échangent également quelqu’uns des ouvrages en leur possession contre d’autres plus à même de les intéresser , et sortent de la pièce.

Les livres pris :
Rose : grimoire de métamorphose pour pouvoir apprendre à changer des caractéristiques biologiques dans le futur (yeux de félin par exemple).
livre
Argos : grimmoire
Yaël : livre sur les animagus pour l’aider dans son apprentissage
Deux livres sur la création de sorts et l’enchantement d’objets

Se souvenant qu’ils ont en leur possession la baguette de Wabbajak Kajabbaw, utilisable six fois, ils décident de s’en servir for shits and giggles.

Rose l’utilise sur Charlotte (66), rien de visible ne se produit.
Argos enchaine (17), et se met à infecter l’atmosphère d’une odeur pestilentielle.
Charlotte essaie à son tour (6), et une chêvre nommée BOB apparaît.
Yaël, contre son gré utilise la baguette (33) sur Argos, mais rien ne se passe.
Rose recommence, sur BOB (27). Un lama très irritant apparaît, et ponctue chacune des interventions des sorciers d’un KAAAARL retentissant.
Pour finir, Enola lance un sort à l’aide de la baguette (23), mais rien ne se passe.

Les sorciers se rendent bien vite compte des effets néfastes de la baguette. Ainsi, Enola voit son nez s’allonger de 10cm à chaque utilisation de la première personne du singulier dans une phrase, tandis que Yaël change de sexe à chaque fois qu’il franchit une porte, et que Rose change toutes les écritures en runique dans un rayon de 100m autour d’elle, au grand désapointement des élèves présents dans la bibliothèque.

Un bref passage à l’infirmerie leur apprend que seul le temps pourra les libérer de ces malédictions, temps que met Yaël à proffit pour jouer la briseuse de couple, et pour vomir dans la bouche des gens.

Yaël avait en effet appris que Mia sortait depuis peu avec son rival de toujours, Dean Lewis, et décide donc de foutre la merde en racontant des horreurs sur Dean auprès de Mia, et en draguant Dean. Il finit par embrasser son compagnon de chambre, mais son allergie récente envers tout ce qui n’a pas de plume le fait régurgiter son dinner dans la bouche de l’autre garçon, illustrant l’esprit partageur des poufsouffles ! Mia assiste à la scène, et il apprend plus tard qu’ils ne sont plus ensembles. Mefait accompli!

Remis de leurs émotions, le groupe doit parvenir à se procurer un sourcil de Veau de Lune pour achever la préparation de leur Comm’cake. Malheureusement, cette espèce très timide ne sort que la nuit. Survolant les prairies jouxtant le château de Poudlard après le couvre feu, ils repèrent bien vite un troupeau, et parviennent à amadouer un de ses membres et à lui prélever un sourcil. Pour le remercier, Yaël le colore en rose fluo, lui assurant le statut de paria au sein de son espèce. Les Veaux de Lune sont en effet très homophobes.

A la même période, des incidents viennent entâcher certains cours, affectant toutes les maisons, et sans raison apparente. Bien mystérieux.

Le jour de l’examen qui décidera si le groupe part en amérique du sud pour sa troisième année de cours arrive enfin, et les 6 sorciers impressionnent le jury avec leur Comm’cake, réalisés à la perfection, et décrochent la première place.

Mais ce succès est bien vite teinté par l’amère tristesse de voir Enola et Charlotte retourner en France. Elles ne les accompagneront plus dans leurs aventures, et c’est les larmes aux yeux que les apprentis sorciers font leurs adieux.

Enola en profite pour leur offrir quelques présents :
Pour Argos : une boîte scellée qui pourra le dépaner d’un ingrédient pour une potion, en quantité limitée.
Pour Yaël : une paire de lunettes qui le transforme en une version légèrement plus âgée qu’actuellement, pour qu’il puisse aller draguer les serdaigles en dernière année. Enola le connait vraiment bien.
Pour Rose : une montre à gousset comportant une aiguille pour chaque membre de la team Canari. Les positions sont :
École / Vacance / tour d’astronomie / pleine lune / fait une connerie / danger de mort / Prison (qui compte pour les kidnapping et aussi pour l’heure de colle) / Perdu / Dors

La suite l’année prochaine

PARTIE 1

Les 4 sorciers fraîchement débarqués dans la rue moyennageuse, ils se font presque aussitôt renverser par un groupe de cavaliers, les “gardes royaux”, se dirigeant à vive alure vers le château apperçu au loin, siègeant au somment d’une coline .

Réalisant que leurs vêtements ne sont pas adaptés à cette époque particulièrement aggressive envers les sorciers, ils parvienent à matérialiser des tenues plus appropriées pour l’époque, les identifiant à un milieu social relativement aisé.
Le bruit d’une foule proche attire les sorciers au marché de la ville. Conscients que leur présence ici n’est sans doute pas le fruit du hasard, ils mênent l’enquête afin de découvrir les ragots du jour. Une cordonnière apprend ainsi à Argos qu’une sorcière a été arrêtée la veille. Faisant le rapprochement avec la sorcière sur un bucher présente sur le tableau les ayant envoyé à cette époque, les jeunes magiciens décident d’en appendre plus et, si possible, de la sauver.
Ils vont, pour ce faire, prendre des informations à la taverne locale, où les rumeurs circulent aussi vite que l’alcool frelaté. Un attroupement attire leur attention, et ils parviennent après bien des difficultés à se rapprocher de l’oratrice qui attire toutes les oreilles. Cette dernière, voisine de la supposée sorcière, se vante d’avoir contribué à son arrestation grâce à sa délation.
Elle se rend ensuite subitement compte que des pains sont restés au four chez elle, l’occasion pour les 4 compères de la suivre discrètement, afin de fouiller la maison que la sorcière (Jeanette) partageait avec sa fille (Maggie).
Une fois chose faite grâce à la diversion éruptive de Rose, Yael et Argos mettent la main sur une lettre d’admission à l’Ecole de Sorcelerie Poudlard, au nom de la jeune Maggie. Dans la cheminée, les restes d’un parchement à demi calciné attirent leur attention. Sur celui-ci n’est plus lisible que le nom “Parkinson”.
L’affaire est entendue: Jeanette, ou tout du moins sa “fille” est bel et bien de sang sorcier, et il est de leur obligation de les sauver.
Reste encore à découvrir où elles sont enfermées. Un rapide tour à la cathédrale, et l’aide d’une none à la conscience lourde leur apprend que Jeanette se trouve prisonnière des cachots du château, place imprenable pour nos apprentis sorciers. Elle sera mise au supplice en place plublique dans l’après midi, suite à quoi l’évèque tentera de lui faire expier ses pêchés.
Ne reste plus qu’à l’intercepter lors de son transfert du château à la cathédrale, en préparation de quoi les adolescents visitent la ville afin d’établir une embuscade et un plan de repli.
Mais le moyen de rentrer chez eux leur échappe encore, alors que résonne dans leurs esprits l’énigmatique phrase du tableau magique: “Quel est mon secret?”…

PARTIE 2:

Finalisant leur plan, qui consiste à attendre que la “sorcière” soit ammenée dans l’église pour la libérer, échanger son apparence avec celle de Yaël, celle de Yaël avec l’évèque, et celle de l’évèque avec Janette, pour ensuite tenter de découvrir l’emplacement de sa fille et la libérer, les sorciers se rendent compte qu’ils ont faim. Ils décident de se rendre dans l’ancienne maison de la sorcière pour piller ses réserves. Faisant diversion en cramant la moitié de la ville (ce qui sera plus tard attribué par erreur à l’armée Anglaise, et connu sous le nom de “Combustion d’Edimbourg” ), ils bivouaquent.

Direction ensuite la place publique, où Argos reste pour surveiller la mise au Pilori de Janaite et s’assurer que, comme ils l’ont appris plus tôt, elle sera par la suite escortée à l’église. Les autres compères profitent de ce temps pour se dissimuler dans les ombres de la cathédrale, et bénéficier ainsi d’un round d’attaque gratuit de l’effet de surprise lors de leur assaut.
Quelques heures plus tard, la sorcière Geanaithe est escortée sous bonne garde à la cathédrale par quatre soldats, suivi de loin par un Argos prévenant ses amis de leur arrivée prochaine. Devant les portes, les sbires du pouvoir remettent l’hérétique aux bonnes soeurs et à l’évèque, qui ferment la porte derrière eux. Argos, prévoyant, décide de faire le tour de l’édifice et de sceller toutes les issues par lesquelles leurs adversaires pourraient s’enfuir, avant d’emprunter la dernière porte restante pour rejoindre ses amis dans la cathédrale. Il débarque dans un dortoir, où ils pétrifie une soeur Marie incrédule, avant d’arriver dans la salle principale, où l’attend un spéctacle de désolation.
Le sol, jonché de corps de nonnes et d’un évèque est à peine praticable. Ses amis semblent à peine essouflée, même si Rose arbore un visage satanique des plus effrayants.
Mettant leur plan à exécution (les échanges d’apparence que je ne vais pas m’amuser à relister), les apprentis sorciers sortent de l’église, et se font escorter sous un ordre de Yaël-l’évèque jusqu’au château par les gardes, où est retenue Magie, la fille de Janethe.
S’en suit toute une série de prétrification et d’ingurgitation forcée de mon notre polynectar, qui resulte en la bande quittant le château avec la fillette qu’ils étaient venu chercher, direction le port, où une amie de Jeanne-aite les cachera jusqu’à minuit, heure à laquelle un bâteau arrivera pour emporter Maggie chez la famille des Parkinson, où elle sera à l’abri des conséquences de son arrestation.

Argos en profite pour jouer un mauvais tour à Yaël, lui communiquant par parchemin qu’ils sont dans une salle secrète dont l’entrée se trouve au niveau des égouts dans le port. Le pauvre Yaël a beaucoup trop foi en son ami, puisqu’il se retrouve à sauter dans les eaux sales du port pour essayer d’accéder à une entrée, qu’il ne trouve évidemment pas puisqu’elle n’existe pas. Il remonte sur le port trempé et frustré, mais Argos a finalement pitié de lui et il lui indique la vraie cachette : la maison close du port.

Se rappelant du pourquoi du comment ils sont là, les sorciers réalisent que le “secret” qu’ils devaient découvrir était celui-ci: les “sang-purs” n’existent pas réellement, il ne s’agit que de familles s’appropriant les enfants nés de non-sorciers (si j’ai tout bien suivi, c’est un peu confus).

Les familles de sang-pur étaient plus raisonnables à l’époque et avaient compris que se marrier entre cousins, à long terme, ce n’était pas une bonne idée. Donc, même si en public ils continuaient de renier les nés moldus et à ostraciser les cracmols de leur famille, en réalité ils les entretenaient financièrement pour les faire taire, en échange de quoi ils récupéraient secrètement les enfants magiques nés de cracmols et de moldus. Ils récupéraient ainsi du sang neuf pour leur lignée, et sauvaient les apparences. Avec le temps, cette pratique s’est perdue, et les familles de Sang Purs sont persuadés que leurs lignées ne comptent pas une goutte de sang moldu, alors qu’ils sont bien loin du compte.

Jannète leur apprend, à leur grand désaroi, que son sort est voué à se répéter, le tableau les ayant transporté à cette époque agissant comme une boucle temporelle où chaque nouveau visiteur est mis à l’épreuve, aux dépends de la sorcière, qui s’est vue brûlermaintes et maintes fois.

Le lendemain, les magiciens se rendent à l’endroit où aurait dû avoir lieu l’exécution de la sorcière (qui était en fait un crakmole), y trouve un temple dans lequel figure un négatif du tableau représentant une sorcière sur un bûcher. Après avoir énoncé à haute voix “les sangs-purs n’éxistent pas”, les adolescents peuvent le traverser et revenir à leur époque où ils s’apperçoivent que toutes leurs réserves de polynectar ont été restitutées à leur pleine capacité Marion si tu ne dis rien je considère que c’est vrai
Marion : Ahahaha, si tu crois que je vais laisser passer ça!

Session 38 du 01/08/2020

Dans l’épisode précédent:
Débarquant dans le jardin du refuge grâce aux indications du carnet d’Hermione, les jeunes sorciers arrivent dans une maison plantée au milieu d’une clairière semblant appartenir à la forêt interdite, mais protégée magiquement. En fouillant tel des voleurs brigands juifs, ils trouvent une note en papier indiquant 4 points associés chacuns avec des numéros (ici), ainsi qu’un gallion modifié arborant une tête de lion sur sa face. En y regardant de plus près, ils s’apperçoivent que la note en papier peut être superposée à une carte de poudlard, et révèle ainsi l’emplacement de 4 salles cachées, appartenant à chacune des 4 maisons.
Entendant des pas dans la clairière, ils se cachent (mal). Arrive un centaure, qui, dans un premier temps étonné de les trouver là, leur révèle ensuite dans des termes obscurs qu’un danger les guette.
Décidant de revenir à poudlard, ils se font agresser sur le chemin du retour par des crabes de feu, mettant à mal Argos. Une fois remis de leurs émotions, ils en apprennent plus sur les Keiporas et les projets des autres groupes dans l’optique de partir en amérique du sud (une cape pour se changer en animal, une potion pour léviter à base de venin de Keliwig). Keith décide de les rejoindre dans leur projet, ce qui porte leur nombre à 6 (Argos, Rose, Enola, Yaël, Charlotte, Keith)..

Dans le présent:
Les jeunes sorciers se décident enfin sur le projet qu’ils présenteront afin de partir en amérique du Sud: réaliser une recette retrouvée dans un livre ayant appartenu à Helga Pouffsoufle, qui leur permettra de créer un “Comm’cake”, sorte de cupcake leur permettant de communiquer avec une créature magique spécifique en fonction de l’ingrédient final qu’ils y insereront. Seul hic, pour une raison obscure, la recette implique la présence d’une mamie lors de sa réalisation, et tous les participants (comme indiqué en lettres majuscules et souligné 3 fois dans le livre) devront porter des toques de chef et des tabliers blancs.

Passant la nuit dans leurs salles communes respectives, Rose en profite pour interroger les 6ème et 7ème années révisant au coin du feu au sujet d’une potentielle salle cachée, sans succès, dans la mesure où elle leur demande s’ils connaissent quelque chose 2 étages plus HAUT alors que c’est en BAS mais bon, on va pas non plus demander aux Gryffondor de réfléchir hein.

Ils se retrouvent au matin pour le petit déjeuner, et Argos leur révèle le contenu du rêve prémonitoir qu’il fît la nuit précédente. Dans ce dernier, la Team Canari marche dans une gallerie bordée de murs richement décorés de rouge et d’or. Tout devient ensuite flou, et le focus se fait sur une main ornée d’un glyphe s’illuminant lorsqu’elle se pose sur une pierre spécifique. Grâce à sa vision objective, Argos voit un éclair vert partir de la pierre dans le mur, et filer à toute allure à travers la maçonnerie, pour enfin arriver dans une grotte sous-marine, se transformer en serpent, et attaquer un dragon dormant qui prend alors la fuite en saignant.

Un article dans le journal leur apprend qu’Alicia Dayton a été retrouvée morte dans sa maison et que son père a été arrêté. Elle était en fait une obscurial et blahblablah on s’en est tapé pendant 30 sessions c’est pas maintenant qu’il faut pleurer hein.

Rose et Enola vont trouver Hagrid pour en apprendre plus sur le dragon du rêve d’Argos, pendant que ce dernier, en compagnie de Yaël, se dirige vers la bibliothèque pour trouver pour l’un les ingrédients nécessaires à la préparation de la potion de cure dragon, et pour l’autres des informations sur les dragons aquatiques.

Hagrid, après avoir reçu l’aide des deux donzelles, leur rappelle que la devise de poudlard fait référence à un dragon qui sommeille, et leur donne l’adresse Hiboutale de Charlie Weasley, grand spécialiste des dragons.

De son côté; Argos apprend que le dragon fortant est assez dur à préparer mais ne demande qu’une heure de mijotage. Rose demande par hibou à sa mère qui tient une animalerie de lui envoyer un ingrédient nécessaire à la préparation, et profite d’être dans la volière pour également écrire à Charlie W. pour lui demander des informations sur les dragons.

Le groupe enfin réuni se dirige ensuite vers la tour de Gryffondor pour tenter de percer le secret de la salle cachée. Utilisant son flair légendaire, et son glyphe clignotant, Yaël s’apperçoit que la statue de lion au pied de la tour ainsi que l’escalier adjascent semblent impregnés de la magie des fondateurs wink wink, et Enola remarque quant à elle une interstice sur le bord de la statue, dans laquelle tiendrait la pièce à tête de lion retrouvée plus tôt. N’écoutant que son courage, rose l’insère, active ainsi le mécanisme secret de l’escalier, qui se dérobe pour révéler un accès aux étages inférieurs.

Au fur et à mesure de la descente, l’air se réchauffe bizarement. Les sorciers arrivent dans un long couloir avec des murs dorés, au bout du quel se trouve un livre posé sur un piédestal. Au dessus de ce dernier flottent des lettres, formant les mots “Ecrivez votre nom et entrez dans l’histoire”. N’ayant rien appris du film Harry Potter et la chambre des secrets, les 4 débiles écrivent leur nom dans le livre magique. Cette action fait apparaître en l’air les mots “quel est mon secret”, devant un tableau présentant une sorcière sur un bucher dont je n’ai pas parlé avant parce que mes phrases sont déjà beaucoup trop longues donc fuck.

Yaël passe sa main dans le tableau et se fait aspirer, suivi par le reste du groupe, qui débarque dans la ruelle d’une ville à une époque apparamment bien plus ancienne que la leur, où on brulait encore les sorcières par exemple.

La suite la prochaine fois.

Carte de poudlard: https://drive.google.com/file/d/1nsV0ANlx0ddRl8wAccmiH-yCZ9TrH4LU/view