PARTIE 1
Les 4 sorciers fraîchement débarqués dans la rue moyennageuse, ils se font presque aussitôt renverser par un groupe de cavaliers, les “gardes royaux”, se dirigeant à vive alure vers le château apperçu au loin, siègeant au somment d’une coline .Réalisant que leurs vêtements ne sont pas adaptés à cette époque particulièrement aggressive envers les sorciers, ils parvienent à matérialiser des tenues plus appropriées pour l’époque, les identifiant à un milieu social relativement aisé.
Le bruit d’une foule proche attire les sorciers au marché de la ville. Conscients que leur présence ici n’est sans doute pas le fruit du hasard, ils mênent l’enquête afin de découvrir les ragots du jour. Une cordonnière apprend ainsi à Argos qu’une sorcière a été arrêtée la veille. Faisant le rapprochement avec la sorcière sur un bucher présente sur le tableau les ayant envoyé à cette époque, les jeunes magiciens décident d’en appendre plus et, si possible, de la sauver.
Ils vont, pour ce faire, prendre des informations à la taverne locale, où les rumeurs circulent aussi vite que l’alcool frelaté. Un attroupement attire leur attention, et ils parviennent après bien des difficultés à se rapprocher de l’oratrice qui attire toutes les oreilles. Cette dernière, voisine de la supposée sorcière, se vante d’avoir contribué à son arrestation grâce à sa délation.
Elle se rend ensuite subitement compte que des pains sont restés au four chez elle, l’occasion pour les 4 compères de la suivre discrètement, afin de fouiller la maison que la sorcière (Jeanette) partageait avec sa fille (Maggie).
Une fois chose faite grâce à la diversion éruptive de Rose, Yael et Argos mettent la main sur une lettre d’admission à l’Ecole de Sorcelerie Poudlard, au nom de la jeune Maggie. Dans la cheminée, les restes d’un parchement à demi calciné attirent leur attention. Sur celui-ci n’est plus lisible que le nom “Parkinson”.
L’affaire est entendue: Jeanette, ou tout du moins sa “fille” est bel et bien de sang sorcier, et il est de leur obligation de les sauver.
Reste encore à découvrir où elles sont enfermées. Un rapide tour à la cathédrale, et l’aide d’une none à la conscience lourde leur apprend que Jeanette se trouve prisonnière des cachots du château, place imprenable pour nos apprentis sorciers. Elle sera mise au supplice en place plublique dans l’après midi, suite à quoi l’évèque tentera de lui faire expier ses pêchés.
Ne reste plus qu’à l’intercepter lors de son transfert du château à la cathédrale, en préparation de quoi les adolescents visitent la ville afin d’établir une embuscade et un plan de repli.
Mais le moyen de rentrer chez eux leur échappe encore, alors que résonne dans leurs esprits l’énigmatique phrase du tableau magique: “Quel est mon secret?”…
PARTIE 2:
Finalisant leur plan, qui consiste à attendre que la “sorcière” soit ammenée dans l’église pour la libérer, échanger son apparence avec celle de Yaël, celle de Yaël avec l’évèque, et celle de l’évèque avec Janette, pour ensuite tenter de découvrir l’emplacement de sa fille et la libérer, les sorciers se rendent compte qu’ils ont faim. Ils décident de se rendre dans l’ancienne maison de la sorcière pour piller ses réserves. Faisant diversion en cramant la moitié de la ville (ce qui sera plus tard attribué par erreur à l’armée Anglaise, et connu sous le nom de “Combustion d’Edimbourg” ), ils bivouaquent.
Direction ensuite la place publique, où Argos reste pour surveiller la mise au Pilori de Janaite et s’assurer que, comme ils l’ont appris plus tôt, elle sera par la suite escortée à l’église. Les autres compères profitent de ce temps pour se dissimuler dans les ombres de la cathédrale, et bénéficier ainsi d’un round d’attaque gratuit de l’effet de surprise lors de leur assaut.
Quelques heures plus tard, la sorcière Geanaithe est escortée sous bonne garde à la cathédrale par quatre soldats, suivi de loin par un Argos prévenant ses amis de leur arrivée prochaine. Devant les portes, les sbires du pouvoir remettent l’hérétique aux bonnes soeurs et à l’évèque, qui ferment la porte derrière eux. Argos, prévoyant, décide de faire le tour de l’édifice et de sceller toutes les issues par lesquelles leurs adversaires pourraient s’enfuir, avant d’emprunter la dernière porte restante pour rejoindre ses amis dans la cathédrale. Il débarque dans un dortoir, où ils pétrifie une soeur Marie incrédule, avant d’arriver dans la salle principale, où l’attend un spéctacle de désolation.
Le sol, jonché de corps de nonnes et d’un évèque est à peine praticable. Ses amis semblent à peine essouflée, même si Rose arbore un visage satanique des plus effrayants.
Mettant leur plan à exécution (les échanges d’apparence que je ne vais pas m’amuser à relister), les apprentis sorciers sortent de l’église, et se font escorter sous un ordre de Yaël-l’évèque jusqu’au château par les gardes, où est retenue Magie, la fille de Janethe.
S’en suit toute une série de prétrification et d’ingurgitation forcée de mon notre polynectar, qui resulte en la bande quittant le château avec la fillette qu’ils étaient venu chercher, direction le port, où une amie de Jeanne-aite les cachera jusqu’à minuit, heure à laquelle un bâteau arrivera pour emporter Maggie chez la famille des Parkinson, où elle sera à l’abri des conséquences de son arrestation.
Argos en profite pour jouer un mauvais tour à Yaël, lui communiquant par parchemin qu’ils sont dans une salle secrète dont l’entrée se trouve au niveau des égouts dans le port. Le pauvre Yaël a beaucoup trop foi en son ami, puisqu’il se retrouve à sauter dans les eaux sales du port pour essayer d’accéder à une entrée, qu’il ne trouve évidemment pas puisqu’elle n’existe pas. Il remonte sur le port trempé et frustré, mais Argos a finalement pitié de lui et il lui indique la vraie cachette : la maison close du port.
Se rappelant du pourquoi du comment ils sont là, les sorciers réalisent que le “secret” qu’ils devaient découvrir était celui-ci: les “sang-purs” n’existent pas réellement, il ne s’agit que de familles s’appropriant les enfants nés de non-sorciers (si j’ai tout bien suivi, c’est un peu confus).
Les familles de sang-pur étaient plus raisonnables à l’époque et avaient compris que se marrier entre cousins, à long terme, ce n’était pas une bonne idée. Donc, même si en public ils continuaient de renier les nés moldus et à ostraciser les cracmols de leur famille, en réalité ils les entretenaient financièrement pour les faire taire, en échange de quoi ils récupéraient secrètement les enfants magiques nés de cracmols et de moldus. Ils récupéraient ainsi du sang neuf pour leur lignée, et sauvaient les apparences. Avec le temps, cette pratique s’est perdue, et les familles de Sang Purs sont persuadés que leurs lignées ne comptent pas une goutte de sang moldu, alors qu’ils sont bien loin du compte.
Jannète leur apprend, à leur grand désaroi, que son sort est voué à se répéter, le tableau les ayant transporté à cette époque agissant comme une boucle temporelle où chaque nouveau visiteur est mis à l’épreuve, aux dépends de la sorcière, qui s’est vue brûlermaintes et maintes fois.
Le lendemain, les magiciens se rendent à l’endroit où aurait dû avoir lieu l’exécution de la sorcière (qui était en fait un crakmole), y trouve un temple dans lequel figure un négatif du tableau représentant une sorcière sur un bûcher. Après avoir énoncé à haute voix “les sangs-purs n’éxistent pas”, les adolescents peuvent le traverser et revenir à leur époque où ils s’apperçoivent que toutes leurs réserves de polynectar ont été restitutées à leur pleine capacité Marion si tu ne dis rien je considère que c’est vrai
Marion : Ahahaha, si tu crois que je vais laisser passer ça!
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